(solveig) million reasons to walk away

QUE PENSE TON PERSONNAGE DES STATUTS DE SANG △ Le sang qui coule dans nos veines ne définit pas qui nous sommes, ou ce que nous sommes. Ce liquide carmin n'est rien d'autre qu'un cycle constant qui suit son chemin dans nos corps, sans que nous nous apercevons de rien. Qu'il soit d'un être moldu, d'un sorcier mêlé, ou bien même d'un sorcier pur, le résultat sera le même si l'on tranche ses veines. La liqueur rouge s'écoulera lentement hors du corps, se créant un passage entre les deux morceaux de peaux intactes. La hiérarchie du sang n'est rien d'autre qu'un groupuscule de mages ayant besoin de supériorité pour se sentir bien. En apparence. Car au fond, le cœur se serre et se noircit. Il devient acre, incapable d'une quelconque humanité tant est pour tout que le sang ne provienne pas de la même source.

QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ASSASSINAT DE LA FAMILLE WHITE △ Un avertissement. Un avertissement pour vous tous, les sang-de-bourbe. Un mot écrit sur le mur avec le sang des défuntes victimes, paix à leurs âmes. Trois simples mots qui font tressaillir à leur simple évocation, comme si une vie ne tenait qu'à un fil. Comme si elle pouvait s'arrêter à tout instant. Une boule au creux de l'estomac. Peur que tu dissimules sous un masque froid, lorsque tes songes te ramène à l'idée de quitter ce monde. Un assassinat pour semer la terreur au sein de cet univers. Un assassinat pour nous faire connaître l'angoisse d'être les prochains sur la liste. Tu n'es pas dupe. Il y en aura d'autre. Et ce sera peut-être toi.

TON ÂGE : dix-huit ans, et toutes mes dents. PAYS : jolie France. COMMENT AS-TU CONNU LE FOFO ? semble-t-il que je sois admin dessus. DES SUGGESTIONS ? si on peut ajouter de la poudre de merlinpinpin, ce serait moins kk. UN DERNIER MOT ? cucurbitacée.

CHAPITRE UN.

Des hurlements de souffrance pendant plus de deux heures. Une infirmière désemparée, bien trop touchée par la douleur de cette pauvre femme qui lui brise les doigts. Des pleurs, une respiration exagérément lourde que l’on instruit à un individu parfaitement capable. Jambes écartées. Mains dont les phalanges sont blanchies par la pression exercée. Un homme au bord du malaise, comblé d’excitation et de terreur. Des encouragements criés tout aussi forts que des consignes. Des instructions qui semblent si difficiles à mettre en œuvre, pourtant. Puis, le silence, un soupir d’appréhension. Tout le monde retient son souffle. Et des cris. Puissants. Stridents. « C’est une très jolie fille, toutes mes félicitations aux deux jeunes parents. » Un beau bébé à la chevelure blonde qui fait entendre sa voix, alors que les lèvres des géniteurs s’étirent en un magnifique sourire. Fatigué, mais comblé. Inquiets pour l’avenir de leur progéniture, alors si frêle, si peu apte à se défendre dans ce monde encore si peu parfait pour une telle merveille. Le premier contact peau contre peau, les premières caresses, les premiers moments en famille. Petite famille enfin complète, avec ce bébé qui s’est fait attendre jusqu’à la dernière minute. Des mots doux chuchotés, un baiser amoureux pour les deux adultes éprouvés par cet événement, ce petit miracle. Le fruit d’un amour, d’une union de deux êtres si innocents. Une enfant qui renferme en elle un don, un pouvoir, que cet homme et cette femme n’auraient jamais pu imaginé avant.

CHAPITRE DEUX.

Vous étiez sortis, lorsque cela s’est produit. Vous étiez tous les trois sortis dans le centre-ville, à la recherche du plus gros et du plus grand gâteau d’anniversaire que vous pouviez trouver pour le jour de tes onze ans. Un âge particulier, disait ta génitrice. Un âge qui t’emmenait tout droit au collège, à la rentrée scolaire. Elle disait que ta vie de femme commencerait là-bas, que chaque jour passé à t’instruire auprès des autres, dans les différentes classes de ton cursus scolaire te permettrait de faire de grandes choses, que toutes les portes te seraient ouvertes. Tu acquiesçais doucement, imprimant chacun de ses mots dans ton esprit, les enfermant un par un. Qu’elle ne fut pas la surprise de toute la famille lorsque vous être rentrés dans le domicile familiale, les bras chargés de bonbons, gâteaux et autres sodas ! Des lettres éparpillées partout sur la moquette de l’entrée. Toutes ces enveloppes portaient ton nom, ton adresse exacte écrite à l’encre verte émeraude. Le cachet gravé dans un petit tas de cire séchée. Une mauvaise blague ? Tout autant de scénarios que tes parents ne cessent d’évoquer, vérifiant qu’il ne manque rien dans chaque pièce.
Après avoir remis de l’ordre dans la petite maison au coin de la rue, l’envie d’ouvrir la centaine de lettres ayant fait déborder votre boîte postale et d’en déchiffrer les mots n’en s’était retrouvé que bien plus forte. Tu n’as pas pu résister, alors, assise sur le canapé du salon, entourés des expressions d’incompréhensions et de craintes de tes aînés. « Une inscription au collège Poudlard ? » t’étais-tu entendu dire. « Nous attendrons votre hibou le 31 juillet au plus tard ? » Dire que l’incompréhension était inscrite sur vos trois visages étaient peu dire. Tu te souviendras toujours de toutes les questions que tu t’étais posé en regardant ce morceau de parchemin, tentant difficilement de faire le lien avec tous les événements étranges et mystérieux qui semblaient se produire chaque fois que tu étais dans les parages.
Un nouveau monde s’ouvrait à toi.

CHAPITRE TROIS.

Tu t’es alors épanoui dans ce monde, suivant à la lettre les conseils de ta mère et de ton père. Pourtant, parfois, tu n’as pu t’empêcher de te détourner du règlement. Sortir de ton dortoir, la nuit, pour grimper à la Tour d’Astronomie, observer le ciel, profiter de cet instant de solitude pour écrire une missive pour tes géniteurs. Et c’est ici même, que tu as croisé son regard. C’est ici, assise sur le sol d’un des nombreux balcons bordant la tour que tu l’as aperçu, ses courbes à peine dessiner par la lumière faible de la nuit. Silencieuse, tu regardes son corps d’un œil distrait alors qu’elle s’approche de toi. Un sourire. Elle s’installe près de toi. Tu l’as déjà vu. Il se passe quelque chose d’inexplicable en toi, chaque fois que tu croises ses pupilles mordorées, chaque fois qu’elle passe près de toi, qu’elle se retrouve au dîner avec toi. Et ton prénom dans sa bouche te fait espérer, attendre, croire en certaines choses que tu ne devrais pas. Un interdit. « Je ne sais pas si je devrais te le dire. » a-t-elle commencé, attirant ton attention déjà focalisée sur sa présence contre toi. Son bras frôle le tien, ta main contre la sienne. « Je t’ai suivi jusqu’ici. J’ai remarqué tu quittais le dortoir pour venir ici, alors, je t’ai suivi. Ce n’est pas la première fois. Je faisais attention à ce que tu ne me remarques pas. » elle avoue, les joues rosies, elle qui d’habitude transpire de confiance, de courage, te faisant te questionner sur la décision étrange du Choixpeau. « En fait. Hm. En fait, tu me plais. Et je sais que c’est mal. Qu’on a pas le droit. Que j’ai pas le droit de ressentir ça pour toi... » Le silence s’installe progressivement entre vous. Tu n’as pas encore ouvert la bouche, troublée par ses aveux. Aveux inespérés. « Dis quelque chose. S’il te plaît. » te supplie-t-elle, mais tu en es tout bonnement incapable. Aucun son ne franchit tes lèvres. Aucun son ne fait vibrer tes cordes vocales. Puis un sourire sur ton visage si peu éclairé. Une main sur sa joue, un pouce qui la caresse. Bouche contre bouche. Premier baiser. Premier baiser déposé contre les lèvres d’une autre fille. Douceur, chaleur, tendresse, intense.

CHAPITRE QUATRE.

Tu es tombé amoureuse de cette fille. Irrévocablement amoureuse de cette fille. Il n’y a pas un seul jour où tu as pu douter de tes sentiments à son égard. Chaque pensée était tournée vers elle. Vers vous. Parce qu’il n’y a pas deux individus, il n’y avait qu’une seule et même personne. Un vous. Un seul et même être possédant deux âmes. Complices. Amantes. Mais la période des fêtes de fin d’année, Noël, signifiait septième année terminée, signifiait séparation. Ce fut comme une déchirure. Tu as senti ton cœur se serrer dans ta poitrine, les larmes se sont frayer un chemin jusqu’à tes yeux. Des « au revoir » déchirants, un câlin que tu éternises, refusant de la lâcher sur le quai de la gare, des baisers langoureux malgré les regards haineux autour de vous. Plus rien n’a d’importance. Seule, elle, compte. L’unité se déchire en deux. Tu aurais voulu ne plus avoir à la quitter. Ne plus avoir à pleurer jusqu’à son retour.
Tu ne souhaitais pas non plus pleurer son absence éternelle. On te l’a arraché de force, abattue en pleine rue alors qu’elle militait pour votre cause. Pour que vous puissiez vivre dans le monde moldu en toute liberté, malgré tes craintes. Elle avait su trouvé les mots pour te rassurer. Le son cristallin de sa voix reste gravé dans ta mémoire, comme ses dernières caresses, son dernier baiser, sa dernière étreinte. Elle hante tes pensées, la femme que tu aimais, aimes. Tu n’as plus la force de vivre, tu n’as pas le courage d’y mettre fin. Déchéance. Désespoir. Tristesse infinie. Tristesse. Tristesse. Ton âme hurle, ton sourire s’écaille pour disparaître. La dépression te ronge, grignote ton âme comme l’un des protecteurs d’Azkaban. Supprime toute trace de bonheur. Tu ne vis plus que par automatisme.

CHAPITRE CINQ.

Déchéance. Plongeon dans l’obscurité de ce que tu appelais autrefois vie heureuse, bonheur et joie. Tu ne vois plus de couleurs, tu sombres doucement dans la pénombre, noyant ton chagrin dans un verre de whisky, ou tout autre alcool qui te tombe sous la main. Masque que tu arbores pour tes proches, pour ta famille. Masque que tu déposes lorsque les derniers élèves quittent ta classe, lorsque tu te retrouves seule. Tâche épuisante que tu penses insurmontable chaque jour qui commence. Professeur d’Astronomie, opportunité pour fuir le regard inquiet de tes parents, fuir les ébauches de projet que tu avais avec elle. Fuir cette vie idyllique dont vous parliez toutes les deux. Fuir. Encore et toujours. Son visage, sa voix, sa douceur te hantent. Son fantôme te hante. Tu aurais pu la retenir, lui demander de passer les vacances avec toi. Vous auriez pu être heureuse. Elle aurait pu être vivante.
Remords, regrets, tu succombes aux vices de l’alcool. Tu restes seule et te noies peu à peu dans l’aigreur. Peur de tomber amoureuse une autre fois. Peur de l’oublier. Elle qui souhaitait être la seule femme de ta vie.

Voilà, la crise d’épilepsie à cause du gif, c'est cadeau, c'est la maison qui offre En tout cas, bravo pour ta validation Tu es des nôtres, jeune padawan-sorcier ! Tu gagnes un câlin et une chocogrenouille


Pour commencer, tu peux aller vérifier dans le bottin des avatars qu'on a bien pensé à ajouter le tiens, si jamais c'est le cas, n'hésite pas à le signaler qu'on puisse régler ça au plus vite . Ensuite, les listings, si tu veux vivre dans un petit nid douillet il faut passer par le registre des habitations, mais pour payer son loyer faut des ptits sous et pour ça, tu peux passer par le registre des métiers et si tu as un capacitée spéciale, il faut passer par registre des capacités spéciales. Pour finir, si tu es un petit choupi élève à Poudlard, tu peux recenser ton rôle ou ton club


Ensuite, si tu veux chercher des liens, c'est ici que ça se passe, faire une fiche de liens et passer dans celles des autres est essentiel pour l'intégration. Tu peux aussi faire ajouter ton personnage au listing des personnages quand tu auras un peu de temps Et puis, si tu veux un partenaire de rp, tu peux aller chercher dans ce sujet. Tu peux également faire un scénario ou des pré-liens par là en respectant le modèle et les règles, ça va sans dire.



Le plus intéressant pour la fin, tu peux également venir jouer avec nous en faisant un tour juste ici ou participer à la coupe des quatre maisons ! N'hésite pas non plus à poster dans la fiche bazzart/prd, un petit mot, ça fait toujours plaisir.


Et parce que la vraie fin est là, sache qu'on t'aime déjà très fort et que si tu as le moindre souci ou la moindre demande, le staff se tient à ta disposition (on offre même le café, on est comme ça nous, what else ) Sur ce, de gros bisous et à bientôt en jeu