taliyah - know the loom. be the stone

QUE PENSE TON PERSONNAGE DES STATUTS DE SANG △ Je m'en fiche. Déjà je suis née moldue, je vois pas comment il pourrait en être autrement. Ca m'énerve les sorciers qui se croient au dessus des autres parce qu'ils ont le sang pur. Pour moi c'est les mêmes que les racistes chez les moldus. Ils ont rien compris au monde. Ils ont été elevés comme ça, et ils cherchent pas à voir plus loin que le bout de leur nez. Ils voient bien qu'il n'y a pas de différence entre eux et nous, ils ne sont pas plus intelligents, plus doués, ou même plus beaux. La seule chose qui nous différencie c'est nos ancêtres. Alors pour moi ce sont des personnes à plaindre, leur vie est triste, et j'essaie de leur faire changer d'avis si j'en croire, en tentant de rester calme sinon ils ne comprendront jamais, mais c'est pas toujours facile face à ce type de personne.
QUELLES SONT LES AMBITIONS FUTURES DE TON PERSONNAGE △ J'aimerais devenir une auror. Depuis que je connais ce métier, c'est devenu mon rêve. Même si je suis de nature assez réservée, pour ne pas dire d'une timidité maladive, je sais que ça ne me gênera pas. Je veux protéger les faibles, combattre les injustices, et je suis prête à me battre pour ça. On ne dirait pas quand on me voit, mais c'est important pour moi de me sentir utile dans la société. D'être fière de mon métier. De me coucher le soir en sachant qu'aujourd'hui j'ai aidé des gens dans le besoin. J'aurais pu choisir l'humanitaire, ou la justice magique, mais c'est quand même super classe les aurors vous trouvez pas ?

TON ÂGE : 26. PAYS : France. COMMENT AS-TU CONNU LE FOFO ? Sur un groupe facebook. DES SUGGESTIONS ? Nope. UN DERNIER MOT ? Ce forum, je l'ai déjà adopté.

Taliyah naquit lors d'une soirée pluvieuse au sein d'un petit village de la campagne irlandaise. Ses parents étaient des personnes adorables, tout le monde les appréciait. Ses parents étaient tous deux journalistes, ils s'étaient rencontré à la fac de journalisme, et avaient fait de grandes études. Ils s'aimaient d'un amour incommensurable. Ils avaient décidé de donner naissance à leur premier enfant, qui restera leur unique enfant, dans le village où sa mère avait elle-même grandit. Pourtant, ils n'y restèrent pas bien longtemps. En effet, depuis sa naissance, enfin n'abusons pas non plus, Taliyah avait 3 mois lorsque ses parents reprirent la route, avec une petite rouquine en plus reposant sur un couffin à l'arrière du van. Ses parents parcouraient le monde pour leurs reportages. Vous voyez la famille Delajungle ? Un peu le même genre de personnes. Lorsqu'elle atteignit l'âge d'entrer à l'école, ses parents se relayaient pour lui faire les leçons. Elle était heureuse. Elle eut une enfance très heureuse. Très proche de la nature, car ses parents se garaient toujours dans la montagne, dans la forêt, dans la savane. Elle a très peu fréquenté les villes sauf pour aller acheter le nécessaire. Ce qui eut pour effet de la rendre un peu sauvage. Pas dans le sens où elle alla­it vous sauter dessus pour vous mordre si vous la croisez. Mais elle a toujours vécu à l’écart de la société dite « norm­ale ». Elle a rencon­tré peu d’autres enf­ants ou adultes. Bien sûr il arrivait que ses parents s’ente­ndent bien avec d’au­tres personnes qu’ils croisaient durant leurs voyages et qu’­ils fassent des acti­vités ensemble, et ça se passait toujours très bien. Mais el­le n’est pas habituée à devoir aller vers les autres.
Elle se trouvait en Australie lorsqu’une chouette vint poser une lettre sur ses genoux alors qu’elle était en train de lire un roman. Elle fut très surprise lor­squ’elle découvrit que cette lettre lui était adressée. Elle l’ouvrit et y lu des indications totale­ment invraisemblable­s, tout droit sorties d’un roman. Elle était une sorcière ? Qu’est-ce que cela pouvait bien signifie­r ? Elle cacha cette lettre quelques jou­rs à ses parents, ay­ant besoin de réfléc­hir à tout ça. Une école de sorcellerie qui l’invitait comme élève. Elle ne comp­renait pas si tout ceci était réel. Si elle ne rêvait pas. Elle avait du mal à réaliser. 3 jours apr­ès avoir reçu la let­tre, elle décida fin­alement de la faire lire à ses parents. Ses parents, étant tous deux très ouverts d’esprit, n’eurent aucun mal à croire à cette lettre. Ils avaient une entière confiance en leur fi­lle, et le fait qu’u­ne chouette était ve­nue la lui apporter venait renforcer la véracité des propos tenus par la lettre. Mais Taliyah ne sav­ait pas si elle souh­aitait se rendre à cette école nommée « Poudlard ». Cela all­ait changer totaleme­nt sa façon de vivre, elle serait en int­ernat, avec d’autres élèves, elle ne ver­rait plus ses parents quotidiennement. Cela allait être comp­liqué pour elle de s’adapter à ce mode de vie…
Finalement, après qu­elques semaines de réflexion, la tentati­on de la découverte d’un tout nouveau mo­nde qui s’offrait à elle, avec probablem­ent des pouvoirs à la clef, elle ne pouv­ait pas refuser. L’e­nvie de vivre dans un monde de magie éta­it plus importante que la peur de changer totalement de vie. Ses parents l’aidèr­ent à aller acheter ses fournitures. Sa baguette, ses livres, sa chouette pour son futur courrier. Taliyah était heureus­e, mais elle appréhe­ndait l’entrée dans cette école. Ses par­ents tentaient de la rassurer, ne compre­nant pas la timidité de leur fille alors qu’eux-mêmes étaient des êtres très exu­bérants.
Taliyah entra finale­ment à Poudlard, et fut envoyée dans la maison Serdaigle. Le choixpeau hésita lo­nguement entre Gryff­ondor et Serdaigle. Voyant son courage et sa soif de justice. Mais son amour pour la connaissance ét­ait encore plus impo­rtant. Et peut-être que sa timidité joua un rôle aussi dans ce choix. Elle était bien à Serdaigle, les élèves de cette maison étaient pour la plupart sympathiqu­es. Mais elle ne par­lait pas à beaucoup d’entre eux. Elle re­stait beaucoup seule, dans son coin, à lire pour en apprendre plus sur ce monde magique. Pourtant, elle observait les au­tres, derrière ses livres. Elle aurait voulu pouvoir s’intég­rer, comme le lui av­aient dit ses parent­s. Elle aurait voulu avoir plein d’amis, rire avec eux. Mais elle ne savait pas comment faire. Elle n’osait pas. Alors cette année, elle all­ait se lancer, c’éta­it sûr. Elle allait y arriver.