million eyes (lumir)

QUE PENSE TON PERSONNAGE DES STATUTS DE SANG △ Tu répondrais que tu t'en fous, mais tu te retiens, tu penses seulement. Parce que t'es un Black, parce que t'es un sang-pur, parce que ça et encore ça. Mille raisons de te taire. Mille raisons de ne penser qu'en secret. Mais franchement, le statut de sang, t'importes complètement. Le problème est que tu ne vas pas te lier d'amitié avec un né-moldu sans avoir quelques petits soucis derrières. Taquineries, petites représailles, parfois insulte. "Traite", "Pourquoi tu parles au sang-de-bourbe" et toi, tu ne réponds rien, tu t'excuses discrètement pour l'autre et ensuite, tu l'envoies chier de manière polie. Des insultes sortent rarement de ta bouche. Tout ça pour dire que tu as une notoriété à tenir, alors que tu n'en as que faire. Tu ne fais pas de différence. S'il ou elle peut faire de la magie, alors celui-ci ou celle-là sera ton égal dans le monde magique. Pour les moldus et cracmol, se seront tes égaux dans l'autre monde. Une certaine nuance.

QUELLES SONT LES AMBITIONS FUTURES DE TON PERSONNAGE △ Déjà, tu veux réussir tes Aspics. La base quoi. Puis, tu voudras aller en médicomagie, faire ce que tu veux. Tu veux quitter le cocon familial, mais pas trop. Tu veux de la liberté, mais pas trop. Tu veux tout, mais pas trop. Ce doute instable qui te tiraille. Et si tout ce passait mal. Et si tu n'étais qu'un bon à rien, qui ne serait bon qu'à servir le sombre mage noir ? Et si, tu finissais mangemort ? Et si ça, et si ceci. Tu ne veux pas. Tu ne peux pas. Tu ne veux pas de la marque, tu ne veux pas de ces idées basaient sur rien. Sur des mots, sur des idées ressuent sans affirmation. Tu veux être toi, sans oublier les autres. Tu veux être un bon Black, sans être un sombre sorcier. Tu veux et tu désires, mais tu ne fais rien. Tu laisses le temps passer. Esprit flouté, questionnaient de toutes parts.

TON ÂGE : 17 ans. PAYS : France. COMMENT AS-TU CONNU LE FOFO ? Grâce à Bazzart. DES SUGGESTIONS ? Non, vous êtes déjà bien beau, même trop, ça devrait être interdit   . UN DERNIER MOT ? Salut. Tu veux une glace à la menthe ?  

Tu attendais. Là. Debout, droit comme un piquet. C'était toujours ainsi, toi, piquet, presque un balai dans l'arrière-train. Tu ne te tenais pas comme ces autres adolescents, les épaules moues, la démarche singeresque presque lassante. Non, tu étais d'une droiture correcte, le dos jamais voûté, les épaules en arrière, marchant fièrement, un pied devant l'autre, le regard dans le lointain. Cette démarche féline, calme, sans un bruit si ce n'était que le regard cliquetis des minces talons dont tes chaussures étaient pourvus. Habillé, d'un t-shirt ample, d'une couleur grisée, type souris et d'un pantalon noir habillé d'une élégante ceinture noire à la boucle brillante. Des chaussettes dépareillé, la seule touche de couleur dans ce monde sans chaleur. Tu n'avais, d'aussi loin que tu t'en souviennes, jamais porté les mêmes chaussettes. Enfin, bon ne nous attardons pas sur ta paire de chaussette. « Arithmancie. » Un maigre sourire naît sur tes lèvres. Un maigre et fin sourire, dissimulé sous un air à la fois désintéressé et sans expression. Ce sourire sournois. « Troll. » Elle te regarde. Ses yeux bleus scrutant le moindres de tes gestes, scrutant la moindre petite peur. Mais tu n'es pas peureux. Tu n'es pas courageux non plus. Tu es entre les deux. Doté d'une petite bravoure cachée et d'un certain timide presque inexistant. « Je n'ai jamais vu cet élève. » Elle claque le bulletin sur le vieux mobilier. Un air froid inscrit sur le visage, une certaine rage ancré dans ses iris. Et toi. Tu ne fais rien. Pas un sursaut, pas un mimique, pas un geste. Tu attends. Arithmancie. C'était une potion que tu avais prise. Un peu au hasard. Comme ça, les autres ne t'inspiraient pas. Soins aux créatures magiques ? Sans façon. Etude des Runes ? Tu connaissais déjà les bases, merci à la tante aujourd'hui sénile. Et le reste. Ce n'était que matière qui, tu le savais, ne te satisferait pas au cours de l'année. Déjà que tu avais osé prendre Etudes des moldus. Que Merlin est pitié de ton âme. « Comment as-tu ? Tu sèches cette matière depuis quand ? » Tu pars prendre place à la table, tirant une des vieilles chaises qu'habitaient la maison. Tu t'assoies, croises les jambes naturellement et réponds d'une voix calme, un peu lasse. « Je suis allé au premier cours, il y a trois ans. Je n'ai pas vu l’intérêt d'y retourner par la suite. » C'était vrai. Le premier cours. Tu t'en rappelles. Tu grimaces un peu. Entre le professeur et la vieille sale, tu ne savais pas lequel t'avait dégoûté le plus. Cette odeur infâme de renfermé et champignon remplissait encore ta cavité nasale et un frisson parcouru ton échine. Tu n'avais jamais plus remis les pieds là-bas, prenant soin de ne pas croiser le professeur. Mais en vue de son commentaire, il ne se souvenait pas de toi et c'était une bonne chose. D'une façon ou d'une autre, tu n'assisterais jamais à ses cours. Le reste de tes notes étaient correctes. Tu allais suivre pour encore deux ans, les mêmes cours, hormis, astronomie auquel tu avais reçu un malheureux Piètre et une maigre tape à l'arrière de la tête par ton père. Pourtant, tu étais un élève studieux, mais il faut croire que l'étude des étoiles n'étaient pas ton fort. Ta sixième année s'annonçait tranquille.


Tu tournes la tête. « Ils ne sont pas purs ! » Tes iris s'assombrissent, ta mine se défait, ton langage corporel trahit ton agacement. Tu regardes ton père, il tire la tête, ses yeux sont fermés et sa bouche fait une moue étrange. Et toi. Tu sais que la tempête n'est pas loin. Ton père est sage, mais ne reste pas calme bien longtemps. Chez toi. Il y a est deux Black. Deux clans. Une famille d'apparence nuancé. Vous étiez ce genre de famille à l'apparence désunit. Celle qui se chamaille car, d'un côté, il y avait les Black puriste, ceux qui conservaient les vieilles règles et puis, il y avait ton côté. Les laxistes, les neutres, les ce n'est pas si grave. Quelque chose qui déplaisait à tes grands-parents paternel. Vous étiez opposé, mais malgré les différentes opinions des deux maisons, vous étiez soudés. La famille avant tout. Étrange. Toi, tes frères et sœurs, faisaient pour la plupart du temps la guerre à tes cousins, cousines, si jamais il arrivait une bricole à un Black, vous vous m'étiez tous d'accord le temps d'un instant. Une entente cordiale le temps de quelques heures, de quelques minutes et vous riez comme une famille, puis le lendemain, la froideur de vos liens si dysfonctionnel revenait à la surface. « Obscuro. » La baguette à la main, ton père venait de faire apparaître un bandeau d'une noirceur terrifiante sur les yeux de son maudit frère, ton oncle. Il était comme pétrifié, il ne bougeait pas, il n'avait même pas pris la peine de se jeter sur sa veste pour prendre sa baguette. « Et là. Vois-tu ? » Tu poses une main sur l'épaule de ta soeur. Elle tremble comme une feuille. Elle est fragile comme une poupée de porcelaine et elle est encore jeune. C'est ce que tu te dis. Elle est jeune. Oui. Mais. Ce n'était pas la première querelle auquel elle assistait. « Non. Tu ne vois rien. Et même sans ce bandeau, tu ne vois rien. Tu es un aveugle dans un monde de misère. Tu passes sans prendre le temps de regarder. Scandant que ton sang, que mon sang, est plus important que le reste. » Ton regard fait des va et vient entre les différents membres présent à la table. Ce n'était qu'un repas de famille, mais bien souvent il se terminait ainsi. Les Black d'une branche d'un côté, opposé aux autres Black. Un repas sans grand-parent. Sinon, croyait-le, tu serais au quart de tour, comme le reste des enfants, hormis ceux atteints la majorité sorcière. Parce que eux étaient plus importants. Le cap des dix-huit ans passés, vous étiez plus prodigieux, moins insignifiant dans les repas, les fêtes, les anniversaires mêmes. « Le sang coule dehors et toi, tout ce qui t'importe, c'est la pureté de notre sang. Un sang qui devrait être sans importance. Parce qu'il faut s'occuper des vies prises que de la pureté du sang qui coule. » Et tu acquiesces dans un silence tout comme ta fratrie. Vous étiez neutre, pensant aux victimes. Mais en dehors de la maison, vous ne disiez rien, parce qu'il fallait se faire discret et que la réputation de ta famille devait rester telle quelle était. Puis. Une famille, coupé en deux avec chacun son opinion. A l'intérieur, les Black savaient, à l'extérieur, tout le monde les disaient puristes. Et toi, tu l'as fermé parce que tu n'avais rien à dire. Parce que tu devais te taire. « Le sang a la même couleur pour tout le monde. Finite Incantatem. » Quand tout cela se terminera ?

Voilà, la crise d’épilepsie à cause du gif, c'est cadeau, c'est la maison qui offre  En tout cas, bravo pour ta validation Tu es des nôtres, jeune padawan-sorcier ! Tu gagnes un câlin et une chocogrenouille    


Pour commencer, tu peux aller vérifier dans le bottin des avatars qu'on a bien pensé à ajouter le tiens, si jamais c'est le cas, n'hésite pas à le signaler qu'on puisse régler ça au plus vite . Ensuite, les listings, si tu veux vivre dans un petit nid douillet il faut passer par le registre des habitations, mais pour payer son loyer faut des ptits sous et pour ça, tu peux passer par le registre des métiers et si tu as un capacitée spéciale, il faut passer par registre des capacités spéciales. Pour finir, si tu es un petit choupi élève à Poudlard, tu peux recenser ton rôle ou ton club


Ensuite, si tu veux chercher des liens, c'est ici que ça se passe, faire une fiche de liens et passer dans celles des autres est essentiel pour l'intégration. Tu peux aussi faire ajouter ton personnage au listing des personnages quand tu auras un peu de temps Et puis, si tu veux un partenaire de rp, tu peux aller chercher dans ce sujet. Tu peux également faire un scénario ou des pré-liens  par là en respectant le modèle et les règles, ça va sans dire.  



Le plus intéressant pour la fin, tu peux également venir jouer avec nous en faisant un tour juste ici ou participer à la coupe des quatre maisons ! N'hésite pas non plus à poster dans la fiche bazzart/prd, un petit mot, ça fait toujours plaisir.


Et parce que la vraie fin est là, sache qu'on t'aime déjà très fort et que si tu as le moindre souci ou la moindre demande, le staff se tient à ta disposition (on offre même le café, on est comme ça nous, what else   ) Sur ce, de gros bisous et à bientôt en jeu