AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


 
Le Deal du moment : -28%
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 ...
Voir le deal
279.99 €

Partagez
 

 (merlin&arthur) ++ run with me

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
membre ≡ gryffindor house
Arthur Blake
Arthur Blake
membre ≡ gryffindor house
△ inscrit(e) le : 02/07/2017
△ messages : 101
△ points : 500
△ pseudo : j!han (morgane)
△ avatar : tom holland
△ crédits : (avatar)
△ disponibilité rp : parfaitement dispo
(merlin&arthur) ++ run with me Tumblr_static_tumblr_static_filename_640
△ âge : dix-sept ans, il fêtera sa dix-huitième année le trente et un octobre prochain.
△ statut du sang : sang-mêlé, à la fois sorcier et moldu, sa mère est une moldue et son père un sorcier
△ amoureusement : indépendant. Il consacre plus de temps à surveiller ses soeurs qu'à chercher le grand amour de toute manière.
△ maison : gryffondor, il est casse-cou et particulièrement effronté, sa maison lui correspond parfaitement
△ études : élève de septième et dernière année, il a abandonné les potions, la dcfm et la divination l'année dernière. En revanche, il excelle en soins aux créatures magiques, en botanique et en métamorphose.
△ baguette : taillée dans du bois d'érable, parfaite pour ses désirs d'évasion et d'explorations, souple et légèrement incurvée, elle trouve dans le coeur de ses vingt-sept centimères une tige de dictame.
(merlin&arthur) ++ run with me Empty
Sam 8 Juil - 19:12
(merlin&arthur) ++ run with me
Run with me
arthur & merlin
   SEPTEMBRE 2016
Son souffle est court et sa respiration rapide, Arthur a beau être un sportif aguerri qui peut rester des heures et des heures à volet sur un balai, dévaler deux étages à la vitesse du son et courir à vive allure dans les couloirs pour éviter un professeur tenace a fini d’user son âme de sportif en herbe. Mais il est loin de s’avouer vaincu pour autant. Il se rapproche d’un mur en freinant complètement son allure et s’appuie à sa paroi pour reprendre son souffle convenablement. Il arrive même à rire tout seul de sa petite course improvisée et il se marre comme un con au milieu du couloir à peine éclairé. Il se reprend légèrement, la respiration un peu plus régulière maintenant qu’il a pris le temps de se poser et il tend l’oreille. Depuis qu’il fait ça, il a appris à distinguer absolument tous les bruits quand il est en mode ninja dans les couloirs en pleine nuit. D’après ses calculs, les rondes de préfets sont terminées, il n’y a que le concierge et quelques professeurs à semer en général à cette heure-ci. Il faut bien que les élèves dorment après tout. Il ne s’est pas donnée de mission particulière pour cette nuit, il a juste envie de faire un tour dans le parc, il adore traîner la nuit à l’air libre, il fait ça depuis des années quelques soirs par mois. Rares sont les fois où il ne se fait pas chopper évidemment, il court vite mais il n’est pas invincible et il atterrit si souvent en retenue qu’il ne peut plus vraiment les compter. Il traîner encore l’oreille pour constater qu’il est bien seul dans ce couloir-ci et il continue sa petite exploration tout à fait sereinement. En tant que gryffondor aguerri aux sorties la nuit, il n’a même plus le palpitant au supplice comme les premières fois qu’il a fait ce genre d’expédition et il aime trop cette sensation de danger. L’adrénaline qui lui coule dans les veines le brûle de manière agréable, il aime la sentir se répandre en lui comme une douce potion. Il a l’impression que sa vie se résume assez bien à tous les dangers qu’il pourrait traverser. Ses sœurs lui disent parfois que c’est devenu une drogue et c’est fort possible, il doit bien le reconnaître. Il est peut-être drogué au danger, il en sait rien. Il ne se pose pas ce genre de questions tandis qu’il avance avec l’envie de siffloter un petit air. Mais ce n’est certainement pas le meilleur moyen de passer inaperçu, il n’a pas trop d’intérêt à se faire prendre sur ce coup-là. Il descend encore deux étages supplémentaires tout en maudissant sa maison d’avoir installé sa salle commune aussi haut dans les étages. A la réflexion, il comprend la décision. Les gryffondors sont sûrement les plus téméraires, le genre à faire exactement ce genre de frasque en pleine nuit. Peut-être que ceux qui ont décidé de cela (Godric lui-même si ça se trouve !) ont pensé qu’ils freineraient les ardeurs des lions avec sept étages à descendre pour atterrir dehors. Ce n’est en tout cas pas ce qui arrête Arthur qui emprunte un nouvel escalier quand celui-ci se met en route. Il peste dans sa barbe une jolie injure à l’attention de l’objet mais il connait le moyen de contourner le problème. Le souci c’est que n’importe qui peut entendre l’escalier bouger et être ainsi attiré par le bruit. Il grogne et quand les marches se retrouvent face à un nouveau couloir, il entend un bruit plus loin et il se remet à courir. Il jette un coup d’œil derrière lui pour voir s’il n’est pas poursuivi par le bruit qu’il a entendu et au détour d’un couloir, il dérape légèrement et manque de rentrer dans quelqu’un. Son cœur fait un bon incroyable dans sa poitrine sous l’effet du choc et il bloque sa respiration comme si du coup, cela le faisait soudain devenir invisible. « lumos » Il n’y voit rien et il ne sait pas qui il a manqué de percuter au coin d’un couloir. Il dirige alors sa baguette et soupire de soulagement en voyant la tête d’un blondinet qu’il connait bien. « Par Merlin, c’est toi ! » Ouais, jeu de mots douteux et involontaire mais il invoque Merlin à toutes les sauces depuis des années, c’est pas sa faute si justement il a un pote qui s’appelle comme ça. Il s’appuie contre le mur pour se pencher et poser ses mains sur ses genoux, reprenant son souffle et calmant sa respiration rapide. « J’ai failli faire une attaque ! » Il porte une main à son cœur pour s’assurer qu’il ne l’a pas fait tomber en passant et il se marre un peu. Ouais, finalement, ça le fait rire d’avoir manqué d’y laisser sa vie dans cette rencontre mais il est content d’être tombé sur un acolyte de sorties nocturnes. Parce que Merlin et lui ont plus que leur compte de balades dans le château ensemble. Il le regarde un instant, un sourire en coin aux lèvres. « T’es là en tant que préfet ? » Autant savoir s’il est occupé à faire une ronde ou s’il a d’autres projets totalement différents. Il n’a pas eu le temps d’atteindre la salle commune des poufsouffles mais attendre un peu de voir si Merlin en sortait aurait été envisageable pour lui. Même s’il ne partageait pas toutes ses sorties avec lui parce qu’il était difficile de les planifier, il aime sa compagnie et à deux, c’est toujours plus marrant. Surtout qu’en tant que préfet, le poufsouffle avait des passe-droits carrément pratiques pour Arthur maintenant. Il a moins de chance de se faire attraper ou envoyer en retenue quand le sage blaireau est avec lui après tout. Et c’est arrivé plus d’une fois au cours des dernières années. Il se redresse complètement, son souffle complètement remis et son cœur à nouveau bien en place, attendant la réponse de Merlin pour voir comment la nuit pouvait tourner.
 
Revenir en haut Aller en bas
admin ≡ hufflepuff house
J. Merlin Lestrange
J. Merlin Lestrange
admin ≡ hufflepuff house
https://turnonthelight.forumsrpg.com/t63-way-down-we-go-merlin
△ inscrit(e) le : 02/06/2017
△ messages : 411
△ points : 997
△ pseudo : sunrise.
△ avatar : henrik holm.
△ crédits : ironshy.
△ multicomptes : solveig, professeur d'astronomie en mal d'amour.
△ disponibilité rp : available.
(merlin&arthur) ++ run with me Evak-even-and-isak-40114010-268-160
△ âge : seize ans.
△ statut du sang : Certains décriraient ton sang comme aussi pur qu'un diamant, aussi pur que le cristal. Un sang-pur.
△ amoureusement : Follement dingue de cet autre garçon, irrémédiablement amoureux de ce petit blond à l'écharpe jaune et noire. Sous l'emprise de ses lèvres, de son parfum, de sa voix, de sa peau. En couple avec Sullivan.
△ maison : Ta maison est celle des petits blaireaux, la maison noire et jaune. Ta véritable place.
△ études : Sixième année. Tu as choisi l'étude des Runes et le soin aux créatures magiques, lors de ta troisième année.
△ baguette : Bois d'ébène, fait pour les propriétaires fidèle à leurs convictions et qui ont le courage d'être eux-mêmes. Plume de phénix, offre un large éventail de capacités magiques. Vingt-sept centimètres. Rigide.
(merlin&arthur) ++ run with me Empty
Mar 15 Aoû - 20:32
Re: (merlin&arthur) ++ run with me
RUN WITH ME
arthur & merlin
septembre 2016

Le froid commence à mordre, le vent se faufile sous les vêtements et donne la chair de poule. Une chair de poule désagréable dont on souhaite se débarrasser par dessus-tout. Par la fenêtre, le ciel est aussi noir que l'encre, bien que parfois parsemé de petites tâches blanches, quelques petites étoiles. La lune n'est pas loin, éclaire le grand parc et ses belles verdures, les branches des arbres, donne du relief à l'eau du lac qui ne dort jamais. L'eau s'agite et offre une douce ambiance à ce paysage magnifique. Tu soupires lentement, tes yeux quittant alors ce magnifique cadre pour celui de ton dortoir. Aussi silencieux qu'un félin, tu enfiles tes chaussures et un gros pull épais, saisis ton insigne de préfet, ta baguette magique et te voilà prêt. Tu te glisses hors de la salle commune des jaunes et noirs et te laisses happer par l'étrange atmosphère du château. Les toiles qui ornent les murs sont endormis, d'autres te hurlent d'éteindre cette lueur qui les dérangent dans leurs sommeils. Tu arbores une mine navrée, mais continues d'avancer, guidé par ton bout de bois ensorcelé. Lumos. Ce sort t'est utile, les nuits où tes rondes s'éternisent. Et elles s'éternisent toujours. Être préfet peut être un avantage capitale : la grande salle-de-bain, la permission de déambuler dans les couloirs alors que tous les autres élèves sont sagement couchés dans le fond de leur lit. Mais c'est aussi un fardeau, lorsque tu es épuisé. Cette nuit n'a rien à voir avec toute celle-là, non. Ce soir, tu n'as qu'une envie, c'est de passer les grandes portes du château et de laisser le vent caresser ta peau pâle, de sentir la fraîcheur de l'hiver qui arrive sur tes longs doigts fins, de faire un tour à la volière pour caresser les volatiles docilement installés dans leurs petites cases de pierre.

Tes pas résonnent contre le sol froid. Les murs sont encore ta prison, toi, qui rêve de l'extérieur. Ton insigne a bon dos, quand tu as envie de ressentir ce sentiment de liberté, loin du monde, loin des autres, loin de ta famille. Tu aurais pu réveiller ton homme, oui, mais la solitude est parfois la meilleure des compagnies. Tu fais un petit détour près des cuisines, volant quelques petits gâteaux et un peu de jus de citrouille. Avec les mains pleines, tu n'as pas d'autres choix que d'avancer à l'aveugle. Tu te prends des murs, parfois, tu manques de t'éclater par terre, à cause d'un pan de tapis. Tu dis que tu devrais apprendre à connaître le chemin par cœur, si l'on te surprenait ainsi, tu n'aurais plus qu'à t'asseoir sur ton image, déjà peu avantageuse grâce à tes chers géniteurs. Soupir. Tu te perds dans tes pensées, autant que tu te perds dans les couloirs. Une baguette se lève contre toi. Puis soudain, une voix que tu connais bien. « Arthur, c’est toi ! » tu affirmes l’évidence pour calmer ton rythme cardiaque. Ton rire se mêle au sien. « Est-ce qu’un préfet vole dans les cuisines, selon toi ? » dis-tu en lui montrant tes petits trésors. Fondants du Chaudron, patacitrouilles, et autres mets délicieux. « Tu comptais aller où, qu’on s’installe ? » Tu lui demandes avec un large sourire. C’est sans doute un signe du destin que de l’avoir croisé ici. Autant en profiter comme il se doit et de partager ton second dîner avec un ami. Quel mauvais préfet tu fais…

Soudainement, la tour de l’horloge te semble être l’endroit idéal pour grignoter toutes tes provisions avec Arthur, alors tout naturellement, tu l’attires avec toi. Il t’éclaire avec sa baguette et vous y êtes rapidement. Tu es sûr qu’ici, personne ne vous dérangera, pas même un professeur, ou un autre préfet. Tu poses la carafe de jus de citrouilles et les quelques gâteaux enroulés dans une serviette en papier à même le sol et t’installes à côté, laissant tes pieds pendre dans le vide. Le pendule balance devant vous. Vision hypnotisante. « Qu’est-ce que tu faisais dehors, cette nuit ? » demandes-tu enfin, brisant le silence s’étant installé lors de votre courte balade.

Revenir en haut Aller en bas
 
(merlin&arthur) ++ run with me
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» (arthur) *
» " sneaking out. really ? " feat. arthur
» (arthur&driss) let's go to play
» (arthur) + i solemnly swear that i am up to no good
» way down we go (merlin)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
turn on the light :: le troisième étage-
Sauter vers: